K I Y O T A K A I Z U M I
PIANO
C R I T I Q U E S
On retiendra, magnifiquement jouées par le pianiste Kiyotaka Izumi, les vieilles Mélodies et Danses flamandes (1941-1943) rhabillant, en les épiçant à peine, dix-neuf pièces d’un claveciniste gantois du XVIIIe siècle.
Diapason, janvier 2015
L’oeuvre de Chopin, dont la musique est trop souvent jouée tendrement et mélodramatiquement, est interprétée tout différemment par Izumi : honnête, poétique et fort narratif.
Steenvoorde concerten, 23 septembre 2012
Avec ses interprétations de Grieg, Tchaïkovsky et Chopin, Kiyotaka démontre que le romantisme ne signifie en fait pas plus que la vie elle-même. Dans toutes ses facettes : la mélancolie, la tristesse, le drame, le chaos, l’amour et la joie. Avec son ‘encore’, une propre transcription merveilleusement belle d’une chanson populaire japonaise, Kiyotaka désire une fois de plus mettre l’accent sur le fait que la musique s’agit de sentiments, tout comme dans la vie.
Maarten Haasnoot, Witte weekblad, août 2012
Le jeu est maîtrisé avec un beau toucher, aussi bien au point de vue virtuosité que dramatique.
De Toonzetter, Witte weekblad, 10 avril 2012
Les ‘Pièces Lyriques’ de Grieg sont, grâce au jeu d’Izumi, d’un enchantement doux et gentil et est donc fort communicatif. L’œuvre de Grieg exprime aussi des émotions profondes et vous touche tout droit au cœur.
De Toonzetter, Witte weekblad, 15 mars 2011
Son interprétation crée du charme et de l’enchantement grâce à son jeu limpide, délicat et plein de verve qui reflète des émotions profondes et la mélancolie. Qu’il interprète les impressions de solitude de Grieg, la nuit, le mal du pays, sa Norvège, la nature, les saisons, la fête, les contes de fées, la vie familiale (berceuse) ou autres souvenirs de jeunesse, le jeu de Kiyotaka Izumi reste sensible . Il vous offre l’ambiance idéale pour le repos et le plaisir d’écouter une musique qui vous est familière .
Elza Baert-Van den Eynde, Périodique VGV, janvier 2011
Izumi met sa personnalité dans celle de Chopin et on a l’impression qu’ils deviennent uns.
Izumi est un homme sensible. Tout le monde intime de Chopin est mis à nu. Nous entendons de la tendresse, des désirs, un espoir tenace, un amour fou resté sans réponse et décliné, de la colère explosive et de l’attendrissement. Izumi donne une vue très intimiste sur Chopin.
Ludwig Van Mechelen, Klassiek Centraal, 21 décembre 2010
Sur ce CD Izumi subit une métamorphose et personnifie Grieg lui-même. C’est quand-même cette impression que l’on acquiert quand on entend ce CD plein de finesse.
Avec douceur, plein d’amour, d’amitié, d’espérance et de rêves… on sent l’odeur saline des rivières nordiques, on imagine les fjords et les forêts interminables. Izumi exprime toutes ces émotions avec précision. Un beau CD que vous ne devez pas vous refuser.
Ludwig Van Mechelen, Klassiek Centraal, 8 novembre 2010
Ce prometteur pianiste japonais a remporté un très spontané succès auprès d’un public dense. Ses qualités ont été révélées dans les pages d’Emmanuel Durlet où son toucher souple, bien timbré et sensiblement expressif a su capter immédiatement l’attention, surtout dans le délicat ‘Jardin de Fra Angelico’. Gabriel Fauré réclame une distinction et un legato fluide que le jeune artiste sut servir avec probité. Mais la brillante sonate n° 3 de Chopin couronna ce récital avec panache, en une technique toute en légèreté, de beaux plans sonores, un débit de clarté.
Olivier, La Semaine, 29 avril 2004
Pendant le “Concours International de Piano Emmanuel Durlet 2002” Kiyotaka Izumi joua avec perfection la très belle « Légende des tours hallucinées ». Pour cette raison son « Prix pour la meilleure interprétation de l’œuvre d’Emmanuel Durlet » était plus que mérité.
Eefje Kostermans, De Pianowereld, mars 2004